Le mythe de Jeanne d'Arc a fasciné le monde entier. Dans la mémoire collective, elle est la petite bergère née vers 1412 à Domrémy, Fille de Jacques d’Arc, et d'Isabelle Romée ; 3 frères et 1 sœur : Jacques, Jean, Pierre, et Catherine, morte sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen (à 19 ans), elle est une figure emblématique de l'histoire de France et une sainte de l'Église catholique.
Au début du XVe siècle, elle mène victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, levant le siège d’Orléans, conduisant le dauphin Charles au sacre de Reims et contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent Ans.
Capturée par les Bourguignons à Compiègne, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg pour la somme de dix mille livres, et condamnée à être brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie. Mais des chroniques du XVe siècle rapportent qu’après Rouen certains refusent de croire à sa mort et qu’une autre femme aurait été brulée à sa place.
Cinq ans après le bucher, une étonnante rumeur se propage: la pucelle est de retour !
Entaché de nombreuses et importantes irrégularités, ce procès est cassé par le pape Calixte III en 1456, et un second procès en réhabilitation conclut à son innocence et l'élève au rang de martyre.
À voir le film de Martin Meissonnier :
« Jeanne d’Arc la contre-enquête Vrai Jeanne, Fausse Jeanne »
au éditions ARTE vidéo
qui nous entraine dans une enquête passionnante et minutieuses, (un peu vieux pour la qualité des images), s’appuyant sur de nombreux document d’archives, reconstitutions en costumes d’époque et des extrait de films.
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